Si la définition de la Santé sexuelle telle que proposée par l’OMS « requiert une approche positive et respectueuse de la sexualité et des relations sexuelles, ainsi que la possibilité d’avoir des expériences sexuelles qui soient sources de plaisir et sans risque, libres de toute coercition, discrimination ou violence », si ce combat est d’une grande modernité, force est de constater que nous sommes encore loin d’avoir atteint ces objectifs.
Nous pourrions bêtement penser que dans des pays lointains, comme en Inde où le viol est utilisé comme punition et peines infligées aux femmes par des tribunaux de fortune, ou dans certains pays d’Afrique comme arme de guerre, tout cela n’est affaire que de traditions archaïques ou de domination masculine ancestrale.
Or, l’atteinte à la liberté fondamentale des femmes, celle de disposer de leur corps en tant que sujet libre, sans contrainte d’aucune sorte, est remise en question partout dans le monde, plus ou moins insidieusement, plus ou moins théâtralisée aussi.
Si d’aucuns disent que la femme est un « diamant », c’est pour mieux la posséder et la dominer sous couvert d’une pureté qui la soumet…
Alors, pour que la Santé sexuelle et les Droits humains soient respectés de tous, il nous faut être plus que vigilants… actifs et engagés autant dans notre pratique clinique que dans notre vie de citoyen.
C’est pourquoi désormais notre revue « Sexualités Humaines » s’adjoint en sous-titre « Revue de Santé sexuelle et de Sexologie pour les professionnels de santé ». Beau temps pour la revue !
Nous pourrions bêtement penser que dans des pays lointains, comme en Inde où le viol est utilisé comme punition et peines infligées aux femmes par des tribunaux de fortune, ou dans certains pays d’Afrique comme arme de guerre, tout cela n’est affaire que de traditions archaïques ou de domination masculine ancestrale.
Or, l’atteinte à la liberté fondamentale des femmes, celle de disposer de leur corps en tant que sujet libre, sans contrainte d’aucune sorte, est remise en question partout dans le monde, plus ou moins insidieusement, plus ou moins théâtralisée aussi.
Si d’aucuns disent que la femme est un « diamant », c’est pour mieux la posséder et la dominer sous couvert d’une pureté qui la soumet…
Alors, pour que la Santé sexuelle et les Droits humains soient respectés de tous, il nous faut être plus que vigilants… actifs et engagés autant dans notre pratique clinique que dans notre vie de citoyen.
C’est pourquoi désormais notre revue « Sexualités Humaines » s’adjoint en sous-titre « Revue de Santé sexuelle et de Sexologie pour les professionnels de santé ». Beau temps pour la revue !